• À propos des familles

    Il était une fois, l'histoire d'Orangeville... 

    Cette rubrique a pour but de vous informer sur le passé d'Orangeville. Elle peut servir de préface à l'histoire actuelle, ou tout simplement d'aide-mémoire.

    Pas obligatoire. Vous pouvez vous y référer au cours de l'histoire, si l'histoire de l'une des familles vous paraît floue.

    -> À l’exception de la partie finale (Katia Aubry), qui est bel et bien un prologue ! À lire, donc. 

    Partie I - Aubry

    Partie II - Poirier

    Partie III - Tulipe

    Partie IV - Laprairie

    Partie V - Dubois

    Partie VI - Deschênes

    Partie VII - Katia Aubry

    Et pour sauter directement à l'histoire : Chapitre I 

     

    Pour être avertis des sorties de chapitres directement sur Facebook : Nishibi / Gaboutine-chan

  • Au moment présent, les enfants de la troisième génération s'apprêtent à partir dans un voyage exceptionnel ; un manoir de luxe situé sur l'Île Citron (oui, on aime bien les agrumes par ici) les accueillera pour près d'une semaine. Ce sera notre histoire principale. Mais toi, cher lecteur qui est tout juste arrivé sur le blog, tu ne connais pas encore les familles, alors comment pourrais-tu apprécier le voyage à sa juste valeur?

    C'est donc ici que commence notre prologue...

    La famille Aubry, grâce à sa fondatrice Jessica Aubry, possède une grande fortune. Si grande qu'elle poussa l'héritière de la deuxième génération, Pénéloppe Aubry (la mariée sur la photo, aspiration richesse/amour), à tout dépenser, y compris l'héritage qui devait alors revenir à sa petite soeur Amélie Aubry (celle qui lui lance un verre d'eau, aspiration plaisir). Elle acheta donc une maison luxueuse à trois étages pour la modique somme de 60 000 simflouz, ce qui lui laissa un petit 10 000 pour la décoration, et rien pour sa soeur. 

    -> Au fond, Théo Laprairie et Lucien Aubry, fondateurs de leurs familles respectives et pères des mariés.

    Pénéloppe était tout juste mariée à Éric Laprairie, nouvellement Éric Aubry. Éric provenait d'une grande famille et n'avait jamais connu le luxe, mais il y prit vite goût. En moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, monsieur devint aspiration famille/richesse et commença à délaisser ses enfants pour enchaîner les promotions. 

    Pénéloppe et Éric avaient été parmi les trois seuls sims de leur génération à accéder aux études supérieures, leurs familles étant les seules à pouvoir payer les frais de 5000 simflouz. 

    -> Dans le fond de la première image, vous pouvez admirer Jessica Aubry, première maire d'Orangeville et fondatrice de la famille Aubry. Elle n'est malheureusement plus en vie à ce jour. 

    -> Dans la deuxième image, Éric câlinant l'un de ses trois enfants. 

    Amélie Aubry était le vilain petit canard de la famille. Malgré l'opportunité qui lui était offerte, elle refusa d'aller à l'Université et décida de faire de sa vie une fête continuelle ; d'où sa déception lorsque sa soeur ainée utilisa la totalité des fonds familiaux pour se faire bâtir un palace.  Sa mère était déçue d'elle et ne comprenait pas sa façon d'agir. Comment avait-elle pu élever une fille aussi paresseuse ? 

    Amélie était la honte de la famille Aubry. Elle le savait. Ça la blessait de voir sa mère aduler sa soeur, mais elle ne voulait pas changer sa façon de penser ; rien ne la terrifiait plus au monde que l'idée de passer sa vie à travailler. 

     


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  • Pénéloppe Aubry n'était peut-être pas la plus gentille ou la plus généreuse des femmes, mais elle avait une amie qui lui était chère : Victoria Poirier. Descendante du célèbre criminel Jules Poirier, Victoria avait grandi dans l'opulence depuis sa plus tendre enfance.

    Elle, Pénéloppe et Éric avaient été les trois seuls sims de la deuxième génération à faire leurs études à l'Université de l'Ananas ; Pénéloppe en Économie afin de devenir femme d'affaires, Éric en Histoire afin de devenir professeur et Victoria en Arts platiques afin de devenir journaliste. 

    -> Sur la première image, Victoria rend visite à Pénéloppe le jour de son emménagement dans sa nouvelle maison. Ses cheveux bruns sont alors teints en blond. 

    -> À droite, Victoria enlace Tom Poirier (anciennement Tom Tulipe), son époux. Quelques années se sont écoulées et, désormais mère, elle a abandonné son blond criant pour revenir à sa couleur naturelle.

    Victoria, étant aspiration popularité/famille*, ne tarda pas à avoir deux petites filles, Amanda et Kamélia. Amanda, avec son teint hâlé et ses cheveux bruns, ressemblait beaucoup à sa maman. Kamélia, quant à elle, possédait des traits plus uniques, et cela était sans doute en lien avec les circonstances exeptionnelles de sa naissance... 

    La petite blonde avait été conçue par une nuit particulièrement maussade. En effet, la fondatrice de la lignée Poirier, Kamélia, venait tout juste de décéder et Victoria l'avait enterrée dans le jardin, près de son époux, Jules. 

    Mais avant de mourir, Kamélia Poirier avait demandé à son unique fille d'avoir un dernier enfant. Soucieuse du destin de celui-ci (Victoria n'était alors pas très avancée dans sa carrière et les factures de 1000 simflouz risquaient de les forcer à vivre dans la misère), la fondatrice demanda au père, Tom, de travailler fort afin de pouvoir remplacer Jessica Aubry au poste de maire

    La petite Kamélia naquit donc avec les yeux verts de sa grand-mère, persuadant Victoria et Tom qu'elle était en quelque sorte liée à elle. 

    *À Orangeville, les sims doivent être allés à l'Université pour avoir une double aspiration. C'est une règle que je m'impose ! 

    Mais la vie n'était pas rose pour tous. 

    Gaétan Tulipe, le frère de Tom, avait des vues sur la belle Victoria et tenta à plusieurs reprises de la charmer, en vain. La femme refusait d'être infidèle et ça la sidèrait de voir que son beau-frère (et meilleur ami !) puisse tenter de la pousser à briser son mariage. 

    En parallèle, Amanda grandit et devint une adolescente rebelle. Parfois, elle sortait dehors la nuit pour ne revenir qu'aux petites heures ; des rumeurs couraient comme quoi elle s'était entichée de l'héritier Aubry, le beau Nicolas. 

     


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  • p

    Amélie ne tarda pas à fuir l'ambiance familiale et trouva du réconfort auprès du charmant Gaétan Tulipe. La maison n'était ni très grande ni très luxueuse, et ils payèrent de justesse leurs factures grâce à leurs emplois précaires, mais Amélie et Gaétan furent heureux

    Puisque Amélie désirait plus que tout couper les ponts avec sa famille, elle prit le nom de Tulipe sans pour autant épouser Gaétan, qui ne semblait pas à l'aise à l'idée de se marier. 

    - On est encore jeunes, avait-il dit en riant nerveusement. 

    La jeune femme n'avait donc pas insisté - pas pour l'instant, en tout cas. Et cinq ans plus tard, Benjamin Tulipe naissait d'un "accident". 

    Prologue partie III - Bienvenue à Orangeville

    Mais Gaétan, fidèle à son aspiration amour, ne pouvait pas résister aux femmes. Tandis qu'Amélie passait ses journées à s'entraîner pour gagner le prochain match de la région, il faisait des galipettes au lit avec la sœur de celle-ci. Ce petit jeu dura des années et la pauvre Amélie ne s'en rendit pas compte ; à ses yeux, Gaétan était l'innocence même

    Pénéloppe, quant à elle, ne pouvait tout simplement pas résister à l'occasion de rendre la vie de sa soeur encore plus misérable. Elle y prenait un plaisir fou. 

    Prologue partie III - Bienvenue à Orangeville

    Les années passèrent le comportement de Gaétan ne s'améliora pas, si bien que tout le quartier, à l'exception d'Amélie, fut mit au courant. 

    Un beau jour, alors qu'elle allait faire ses courses au magasin général, elle tomba sur une vieille connaissance : Hélène Laprairie, la soeur d'Éric Aubry. Celle-ci voulut prévenir son amie, mais Amélie réagit violemment en la traitant de menteuse.

    À ses yeux, tout le monde voulait briser son couple


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  • Prologue, partie IV - Bienvenue à Orangeville

    Hélène Laprairie, soeur d'Éric Aubry et d'Espérance Dubois, se maria par une belle journée d'automne. Tout avait été planifié, de la couleur des fleurs ornant l'arche à la robe blanche qu'elle porterait. William Laprairie (autrefois Deschênes) était l'époux parfait : sérieux, calme et gentil, il désirait fonder une famille très nombreuse. Hélène était aux anges. 

    -> Bon, mis à part pour son horrible tenue léopard...

    Toutefois, elle n'avait pas prévu que son père, Théo Laprairie, ferait une crise cardiaque en l'entendant dire "oui". 

    Sa mère le vécut très mal et elle s'écroula sur l'herbe parsemée de pétales oranges, marmonnant qu'il y avait plein de poulets qui dansaient autour d'elle. Sans surprise, les médecins diagnostiquèrent un début de folie, et Nina Laprairie fut confinée à l'intérieur de la maison jusqu'à sa mort, quelques jours plus tard. 

    Prologue, partie IV - Bienvenue à Orangeville

    Désirant combler le vide au plus vite, Hélène ne tarda pas à tomber enceinte et à donner naissance à son premier enfant, une adorable petite fille du nom d'Audrey. En parallèle, elle se mit à la création de jouets, désireuse d'offrir de nombreux divertissements à ses enfants.

    Hélène et William n'avaient pas beaucoup d'argent, mais l'héritage de Nina et de Théo leur permit de rénover la maison afin de créer une chambre supplémentaire. Peu de temps après, elle tomba enceinte à nouveau et donna naissance à une petite Catherine aux grands yeux marrons, puis à un garçon du nom de Mathieu

    Avec leurs trois enfants, ils n'avaient plus le temps de prendre soin d'eux et Hélène dormait de moins en moins

    -> À droite, la petite Audrey mange dans sa chaise haute. 

    Prologue, partie IV - Bienvenue à Orangeville

    Alors que Mathieu n'était qu'un bambin, ce qui devait arriver arriva

    Elle s'écroula de fatigue dans la cuisine, atteinte d'une maladie incurable, et rendit l'âme face à son mari dévasté. Hélène Laprairie n'était plus. Désormais veuf, William devait élever seul ses trois enfants. 

     


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  • Prologue partie V, Bienvenue à Orangeville

    Hélène et Éric avaient une jeune sœur, Espérance Dubois. Dernière de trois enfants, Espérance avait toujours vécu dans l'ombre de ses aînés et s'était donc renfermée sur elle-même, ce qui la poussa du même coup à lire énormément de livres

    Elle était tombée amoureuse de Tristan Dubois en un rien de temps et ils s'étaient mariés tout aussi vite, en petit comité. Tous deux passionnés par la connaissance, ils s'entendaient à merveille et avaient de longues discussions savantes. 

    Prologue partie V, Bienvenue à Orangeville

    Mais bien vite, leur routine fut chamboulée par l'arrivée d'Adrien Dubois et Espérance se vit confinée à l'intérieur de leur maisonnette. La jeune mère le vécut très mal. Alors que Tristan se donnait à fond à la caserne militaire d'Orangeville, elle devait changer les couches d'Adrien, se retrouvant en congé forcé

    Espérance Dubois rêvait d'aventures ; ce n'était pas pour rien qu'elle s'était dénichée un métier dans cette branche. Rien ne l'excitait plus que les histoires à la Indiana Jones. Mais tourner en rond parmi les biberons vide, ce n'était pas une aventure, c'était une prison

    Ainsi, lorsqu'elle tomba de nouveau enceinte, Espérance n'hésita pas une seconde avant d'avaler la pilule du lendemain. Tristan le prit très mal, mais elle ne cilla pas. Adrien était son premier et dernier enfant, point final. 

    Prologue partie V, Bienvenue à Orangeville

    Tristan Dubois avait un frère cadet. Enfin, un demi-frère, plutôt, car il était le fils illégitime de sa mère, Ophélie Dubois, et du père d'Espérance, Théo Laprairie. Plutôt compliqué, si vous voulez mon avis, mais véridique. 

    Ce faisant, Aurélien Deschênes (anciennement Dubois) était l'un des quatre enfants de Théo Laprairie avec Espérance, Éric et Hélène. 

    Aurélien et Tristan avaient grandi ensemble dans la petite maison de bois de leur mère, Ophélie Dubois. Il y a fort longtemps, la pauvre femme s'était mariée à Mike, un alcoolique n'ayant eu qu'un seul fils légitime : Tristan. Mais Ophélie était restée profondément amoureuse de Théo Laprairie et n'avait jamais pu l'oublier jusqu'à sa mort. 

    Tristan et Aurélien étaient donc très proches. Si proches que lorsqu'une menace ennemie commença à s'infiltrer à Orangeville, il demanda à son frère de joindre l'armée à ses côtés pour y faire face. 

    -> À droite, Tristan qui tente désespérément d'obtenir une bonne note au club de jardinage. C'est son passe-temps préféré lorsqu'il rentre de la caserne. 

     

     


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